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#Histoire de la #politique des #transports terrestres de #marchandises en #France depuis le milieu du XIXème siècle

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Histoire de la politique des transports terrestres de marchandises en France depuis le milieu du XIXème siècle Mon livre est sorti aux Editions Universitaires Européennes. Il y a un peu plus d’un siècle et demi les hommes étaient en train de réaliser une extraordinaire révolution technique et économique en permettant de briser l’espace au moyen du temps sur terre. Ce fut le début d’une histoire financière et économique complexe, et bien entendu d’une histoire politique riche. Mais l’intervention publique ne naît pas avec le chemin de fer. Les transports constituent un enjeu économique trop important pour ne pas mobiliser l’attention des pouvoirs publics et leur intervention réglementaire, financière, ou directe, ne serait-ce que pour assurer le développement des infrastructures. Ce livre s'interroge sur le lien complexe entre l'économie, l'intervention publique et le domaine particulier du transport terrestre de fret ces 150 dernières années. Voir le site

#Corse : Histoire des dessertes #maritimes de #service_public : coûteux et décevant ?

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Histoire : Desserte maritime de la Corse, mélanges et globalisation ne font pas une politique L’histoire de la #Corse et de ses transports maritimes n’est pas sans susciter de sérieuses critiques à légard de l’Etat (français en l’occurrence), doublées d’une critique de son dispositif fiscal. En réalité les choses, comme souvent, sont un peu plus complexes qu’on pense . Contrairement à ce que qu'on peut parfois imaginer [1] le commerce maritime insulaire n’était pas, au début du XIXème siècle et pour un bon moment, une affaire de lignes régulières à l’image de nos ferries et navires rouliers contemporains.  Considérons aussi la particularité d’un pays qui, fondamentalement lié à l’Italie, se trouvait dans le giron français, puis anglais, puis à nouveau français.   Et dans ce contexte, les régimes douaniers, moins systématiques qu’on le dit parfois, ont assez peu d’impact sur un trafic demeurant longtemps modéré tant à l’export (quelques milliers de tonnes, dont beaucou