#TGV #LGV #Cour des Comptes : Quand les rapports peuvent avoir du bon
Les rapports de la Cour des Comptes sont perçus parfois comme relevant presque du mauvais esprit. Et, à la décharge de ceux qui sont épinglés, la Cour, parfois vise le secondaire et oublie l'essentiel. C'est à vrai dire de moins en moins le cas, et ce, d'autant plus que la situation financière de l'Etat légitime un regard critique et rigoureux. Les pieds dans le plat Le rapport sur les Lignes à Grande Vitesse (LGV) met d'une certaine manière les pieds dans le plat d'une certaine façon de décider les grands projets. Et pourtant, ce sujet fait l'objet depuis longtemps - et au moins la Loi d'Orientation des Transports Intérieurs de 1983 - d'un support législatif et réglementaire. Pour avoir "trempé" dans la conception de ce texte et de ses textes d'application, je vois dans le rapport de la Cour une excellente nouvelle. En dénonçant des pratiques contestables elle vient rappeler une évidence : l'engagement de grands trav