Infos Transport (Patrice Salini)

La question grecque empoisonne les relations entre #européens.  En cause : l'acceptation ou non d'une solidarité accrue envers "les grecs".  Une question qui heurte de front les égoïsmes nationaux. Or tout indique que nombre de pays pratiquent depuis longtemps, en leur sein, une solidarité active envers certaines régions. Balances commerciales déficitaires et transferts budgétaires massifs existent ici et là, et même au sein d'états riches. Et les disparités de #PIB par tête existent.  PIB par tête au Sein de l'UE par région La logique de l'Union est de renforcer, et non de réduire, la solidarité entre régions, tout en mettant en place des politiques favorables au développement local.  C'est en ce sens que l'UE - et singulièrement la zone Euro - est en face d'un choix majeur : tirer les conséquences de l'Union Monétaire, ou la casser petit à petit. 

Le Ministre de l'Economie de Grèce, par ailleurs auteur du "Minotaure planétaire", qu'on ferait bien de lire, explique sur son blog le sens de sa démission.  Voir  Le Blog de Varoufakis

La question grecque n'en finit pas de monter en intensité dramatique. Un "jeu" qui ne peut que pousser chaque camp à se raidir.  Bien entendu il existe des solutions réalistes et acceptables par tous, et ne mettant pas au supplice le peuple grec. Mais il faut changer de logique.  Comme le dit justement #DSK ( @ dstrausskahn )  : " Forcer le Gouvernement grec à céder créerait un précédent tragique pour la démocratie européenne et pourrait mettre en marche une réaction en chaîne incontrôlable. Et, d’un autre coté, poursuivre le programme actuel qui a échoué, étendre la dureté économique au delà de toute raison et prolonger l’agonie et les tensions entre les prêteurs et les emprunteurs serait désastreux." Voir sa note sur Slideshare Or les solutions pragmatiques existent. Mais derrière la technique financière, il y a une réalité politique et idéologique : celle de la construction européenne et de la zone Euro, et finalement la volonté ou non de construire une Eu

Dépêche AFP reprise par http://www.romandie.com/ La Grèce libéralise le transport routier, malgré les manifestations ATHENES - Le Parlement grec a adopté mercredi une loi ouvrant à la concurrence le transport routier, malgré les protestations de centaines de patrons-routiers qui ont bloqué les deux principales autoroutes du pays, avant de lever leur mouvement en fin de journée. Les députés de droite comme de gauche ont adopté au Parlement une loi réformant le secteur, traditionnellement protégé de la concurrence. Le texte prévoit de réduire drastiquement les prix des licences d'exploitation en délivrant, pour la première fois depuis quarante ans, de nouvelles licences à des prix réduits, alors que les 34.000 plaques existantes se négocient jusqu'à 300.000 euros l'unité, selon les protestataires. En grève depuis le 13 septembre, 2.000 patrons routiers ont défilé mardi dans le centre d'Athènes. Certains d'entre eux ont campé toute la nuit devant le Parlemen

Selon http://www.informatorenavale.it/ Il Gruppo Grimaldi lancia un'offerta pubblica d'acquisto su Minoan Lines S.A. Napoli - Grimaldi Compagnia di Navigazione SpA, società capofila del Gruppo Grimaldi, ha annunciato il lancio di un'offerta pubblica d'acquisto obbligatoria sulle azioni di Minoan Lines S.A. (di seguito 'Minoan Lines'), società di navigazione quotata alla Borsa di Atene. Grimaldi Compagnia di Navigazione SpA (di seguito 'Gruppo Grimaldi') offrirà 5,29 Euro per ogni azione Minoan. L'offerta valuta Minoan Lines 375.198.540 Euro e rappresenta un premio del 18,80 % sul prezzo medio delle azioni Minoan nel corso degli ultimi sei mesi. Il prezzo dell'offerta è pari al più elevato prezzo pagato da società appartenenti al Gruppo Grimaldi per acquistare azioni Minoan nel corso degli ultimi dodici mesi. L'offerta è divenuta obbligatoria venerdì 3 ottobre allorché il Gruppo Grimaldi ha acquistato lo 0,38% di Minoan Lines ad un prezzo medi