Mon dernier papier sur la messagerie dans TIH (441) : Messagerie : Péripéties et illusions stratégiques



Contrairement à ce que pourrait laisser entendre la presse généraliste, et d’une certaine manière le climat ambiant du transport routier de marchandises, la crise actuelle de la messagerie (voir TIH....), dont l’un des signes fort est le dépôt de bilan de Mory-Ducros, n’a rien à voir avec celle du pavillon français. Encore que l’un et l’autre ont à pâtir de l’affaiblissement de la production manufacturière française. Mais en matière de messagerie on ne peut invoquer le tractionnaire Polonais ou le chauffeur Bulgare. La réalité du marché est, on l’a dit (op.cit), actuellement problématique, et contrairement aux idées reçues, ne s’améliore pas mécaniquement avec la concentration du marché. A y regarder d’un peu plus près, on peut en effet considérer les choses autrement : un mélange de doute sur les stratégies de certains groupes, et de constat froid : il est difficile de transformer des entreprises boîteuses en « belles boîtes ».



Le lien : Messagerie : Péripéties et illusions stratégiques

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