Armateurs de France et ECSA : l'UE trop frileuse sur le GNL
Selon un communiqué d'Armateur de France (Lire le communiqué), les compagnies maritimes françaises et européennes déplorent le peu d'entrain, si l'on peut dire, de l'UE sur l'équipement des ports en matière de Gaz Naturel Liquéfié.
L'organisation française souligne en particulier : "Intervenant dans le contexte de la directive européenne sur les émissions de soufre, l’accord a minima auquel a abouti le trilogue européen (Commission, Parlement et Conseil) mentionne seulement que les États membres devront veiller à ce qu’un « nombre suffisant » de grands ports européens se dotent de l’équipement nécessaire au ravitaillement GNL pour le transport maritime en 2025. Une position totalement inacceptable pour Armateurs de France qui dénonce le « deux poids, deux mesures » entre les armateurs d’un côté, les ports européens de l’autre."
En effet, selon l'organisation, " la directive sur le soufre impose un calendrier contraint aux armateurs français et européens, avec un passage au 0.1% en Manche/mer du Nord dès le 1er janvier 2015 et à 0.5% dans la totalité des eaux européennes en 2020. Pour faire face à ce défi, les armateurs français concernés ont choisi de passer au GNL (Gaz naturel liquéfié), ce qui suppose une adaptation lourde et coûteuse de la flotte française, pourtant une des plus jeunes d’Europe."
D'où l'impression qu'on impose beaucoup aux compagnies et ben peu aux ports.
"Cette décision est incompréhensible car l’Europene peut pas contraindre les armateurs à un calendrier aussi serré sans prévoir les aménagements nécessaires à terre. Le choix du GNL doit procéder d’un effort collectif et simultané : les grands ports européens doivent se doter des infrastructures nécessaires au même rythme que les armateurs."
Voir aussi le communiqué de l'ECSA (Lire le communiqué)
L'organisation française souligne en particulier : "Intervenant dans le contexte de la directive européenne sur les émissions de soufre, l’accord a minima auquel a abouti le trilogue européen (Commission, Parlement et Conseil) mentionne seulement que les États membres devront veiller à ce qu’un « nombre suffisant » de grands ports européens se dotent de l’équipement nécessaire au ravitaillement GNL pour le transport maritime en 2025. Une position totalement inacceptable pour Armateurs de France qui dénonce le « deux poids, deux mesures » entre les armateurs d’un côté, les ports européens de l’autre."
En effet, selon l'organisation, " la directive sur le soufre impose un calendrier contraint aux armateurs français et européens, avec un passage au 0.1% en Manche/mer du Nord dès le 1er janvier 2015 et à 0.5% dans la totalité des eaux européennes en 2020. Pour faire face à ce défi, les armateurs français concernés ont choisi de passer au GNL (Gaz naturel liquéfié), ce qui suppose une adaptation lourde et coûteuse de la flotte française, pourtant une des plus jeunes d’Europe."
D'où l'impression qu'on impose beaucoup aux compagnies et ben peu aux ports.
"Cette décision est incompréhensible car l’Europene peut pas contraindre les armateurs à un calendrier aussi serré sans prévoir les aménagements nécessaires à terre. Le choix du GNL doit procéder d’un effort collectif et simultané : les grands ports européens doivent se doter des infrastructures nécessaires au même rythme que les armateurs."
Voir aussi le communiqué de l'ECSA (Lire le communiqué)