#SNCM #CORSE : #Transdev contredit les administrateurs
CorseNetInfos - voir l'article - fait état de la - vive - réaction de #Transdev à la lettre des administrateurs judiciaires de la #SNCM.
La compagnie indique en effet : "Dans le courrier des Administrateurs Judiciaires, le terme de liquidation judiciaire a été totalement détourné de son contexte. En effet, il y a deux cas de figure dans lesquels une liquidation peut être ouverte : une liquidation sans reprise, ce à quoi Transdev s’est toujours opposé, et une liquidation avec reprise partielle d’activités et d’emplois, nécessaire pour répondre au critère de discontinuité demandé par Bruxelles. "
Et elle poursuit en indiquant : "Transdev n’a jamais subordonné à une liquidation de la SNCM sans reprise sa proposition de contribuer financièrement au PSE de la SNCM à hauteur de 85 M€, et d’abandonner 105 M€ de créances. Sa proposition a au contraire pour objet de favoriser un plan de reprise."
Autrement dit, selon Transdev, les administrateurs judiciaires auraient ainsi tendance à travestir sa position. Ce qui confirme bien que, dans cette affaire, nous souffrons avant tout d'une information parcellaire, qui finit par alimenter des polémiques, dont il est difficile de comprendre dès lors l'origine réelle.
A quand la transparence ?
La compagnie indique en effet : "Dans le courrier des Administrateurs Judiciaires, le terme de liquidation judiciaire a été totalement détourné de son contexte. En effet, il y a deux cas de figure dans lesquels une liquidation peut être ouverte : une liquidation sans reprise, ce à quoi Transdev s’est toujours opposé, et une liquidation avec reprise partielle d’activités et d’emplois, nécessaire pour répondre au critère de discontinuité demandé par Bruxelles. "
Et elle poursuit en indiquant : "Transdev n’a jamais subordonné à une liquidation de la SNCM sans reprise sa proposition de contribuer financièrement au PSE de la SNCM à hauteur de 85 M€, et d’abandonner 105 M€ de créances. Sa proposition a au contraire pour objet de favoriser un plan de reprise."
Autrement dit, selon Transdev, les administrateurs judiciaires auraient ainsi tendance à travestir sa position. Ce qui confirme bien que, dans cette affaire, nous souffrons avant tout d'une information parcellaire, qui finit par alimenter des polémiques, dont il est difficile de comprendre dès lors l'origine réelle.
A quand la transparence ?