#Bataille_navale annoncée au large de la #Corse ?
On en parlait, on le supposait, certains l'espéraient, d'autre le redoutaient. Ce sera parti. En Janvier, alors même que Rocca reprendra les commandes de ce qui aura été sauvé de la SNCM, tout en vivant sous la menace de l'appel-nullité intenté par Corsica Maritima, cette compagnie alliée à Berrebi serait sur le point de lancer une ligne entre Marseille et Bastia avec un pur roulier destiné au fret. Viendrait ensuite une autre ligne reliant cette fois-ci Ajaccio à Marseille.
Voir Le Marin
En soi, quelque chose de logique, et dirons certains, de sain, qui prouverait en effet que les candidats repreneurs avaient de véritables raisons et de réels intérêts à vouloir reprendre la SNCM.
Une situation qui aura nécessairement pour conséquence de produire des réactions de la part des acteurs sur ce marché.
Ainsi, sans certitudes sur l'avenir (de la DSP), et au sortir d'une période dramatique consécutive à la "privatisation" manquée de la SNCM, et une gestion chaotique des DSP, le marché revient montrer le bout de son nez, et contrarier ceux qui pensaient que le transport maritime pouvait vivre sous le régime de l'économie administrée indéfiniment.
Il y aurait donc, si ces informations sont confirmées, et ce par delà les décisions de l'équipe exécutive qui prend place à la CTC, comme nous l'avons plusieurs fois exposé, un renouveau radical de l'offre, posant sous un jour nouveau la question de la continuité territoriale.
Raison de plus, n'est-ce pas, pour définir assez vite les futures obligations de service public, et l'éventuel contour d'une délégation.
Gageons que ces questions auront, nouvel exécutif oblige, cette fois-ci, le mérite d'être largement concertées, ce qui rendra au moins les enjeux réels plus transparents, et les stratégies plus explicites.
Voir Le Marin
En soi, quelque chose de logique, et dirons certains, de sain, qui prouverait en effet que les candidats repreneurs avaient de véritables raisons et de réels intérêts à vouloir reprendre la SNCM.
Une situation qui aura nécessairement pour conséquence de produire des réactions de la part des acteurs sur ce marché.
Ainsi, sans certitudes sur l'avenir (de la DSP), et au sortir d'une période dramatique consécutive à la "privatisation" manquée de la SNCM, et une gestion chaotique des DSP, le marché revient montrer le bout de son nez, et contrarier ceux qui pensaient que le transport maritime pouvait vivre sous le régime de l'économie administrée indéfiniment.
Il y aurait donc, si ces informations sont confirmées, et ce par delà les décisions de l'équipe exécutive qui prend place à la CTC, comme nous l'avons plusieurs fois exposé, un renouveau radical de l'offre, posant sous un jour nouveau la question de la continuité territoriale.
Raison de plus, n'est-ce pas, pour définir assez vite les futures obligations de service public, et l'éventuel contour d'une délégation.
Gageons que ces questions auront, nouvel exécutif oblige, cette fois-ci, le mérite d'être largement concertées, ce qui rendra au moins les enjeux réels plus transparents, et les stratégies plus explicites.